Gabriel GAUTHIER
Boucher
« Adrien et moi, nous nous sommes rencontrés un mois avant que n’ouvre le restaurant. Il est venu directement me voir à la boucherie. Il avait entendu parler de nous par le biais du Collège Culinaire de France », explique Gabriel Gauthier, boucher à Clermont-Ferrand. « C’est très simplement que notre collaboration a débuté. »
Gabriel fournit le chef en produits carnés, c’est-à-dire en viande et en volaille. « Il me réveille souvent la nuit pour passer sa commande et puis il officialise par un sms, le tout avant le week-end car le lundi matin je suis à Rungis », souligne Gabriel.
Le boucher livre Adrien en fonction de sa carte qui change au gré des saisons. « Actuellement, nous avons fait partir des filets mignons de veau, des canettes des Dombes, des carcasses de canards pour ses fonds de sauce. Au fil de l’année, le Chef travaille également des selles d’agneau, du porc haut de gamme comme le Noir de Bigorre ou le Kintoa. C’est très diversifié et cela rend notre relation particulièrement intéressante ».
« Adrien consacre beaucoup de soin à ce qu’il élabore, il s’attache à travailler des produits nobles et n’hésite pas payer cher pour obtenir du haut de gamme. Je l’ai vu œuvrer en cuisine, il se donne énormément, avec passion et minutie », poursuit Gabriel.
Dans l’assiette, le résultat est là : une viande sublimée par la créativité du Chef, qui fond en bouche et éveille les papilles. « C’est un plaisir de goûter les plats et de voir sur sa carte les références à nos produits. D’une certaine manière, c’est une reconnaissance de notre travail », insiste Gabriel.
Outre son savoir-faire professionnel, le boucher reconnaît également qu’Adrien possède un savoir-être relationnel. « C’est quelqu’un de très agréable, qui sait ce qu’il veut. Il a ouvert un très bel établissement. » Des qualités qui séduisent les Auvergnats. « Ces derniers reconnaissent la valeur du travail et le mérite », conclut Gabriel, confiant en l’avenir d’Origines.
Gabriel fournit le chef en produits carnés, c’est-à-dire en viande et en volaille. « Il me réveille souvent la nuit pour passer sa commande et puis il officialise par un sms, le tout avant le week-end car le lundi matin je suis à Rungis », souligne Gabriel.
Le boucher livre Adrien en fonction de sa carte qui change au gré des saisons. « Actuellement, nous avons fait partir des filets mignons de veau, des canettes des Dombes, des carcasses de canards pour ses fonds de sauce. Au fil de l’année, le Chef travaille également des selles d’agneau, du porc haut de gamme comme le Noir de Bigorre ou le Kintoa. C’est très diversifié et cela rend notre relation particulièrement intéressante ».
« Adrien consacre beaucoup de soin à ce qu’il élabore, il s’attache à travailler des produits nobles et n’hésite pas payer cher pour obtenir du haut de gamme. Je l’ai vu œuvrer en cuisine, il se donne énormément, avec passion et minutie », poursuit Gabriel.
Dans l’assiette, le résultat est là : une viande sublimée par la créativité du Chef, qui fond en bouche et éveille les papilles. « C’est un plaisir de goûter les plats et de voir sur sa carte les références à nos produits. D’une certaine manière, c’est une reconnaissance de notre travail », insiste Gabriel.
Outre son savoir-faire professionnel, le boucher reconnaît également qu’Adrien possède un savoir-être relationnel. « C’est quelqu’un de très agréable, qui sait ce qu’il veut. Il a ouvert un très bel établissement. » Des qualités qui séduisent les Auvergnats. « Ces derniers reconnaissent la valeur du travail et le mérite », conclut Gabriel, confiant en l’avenir d’Origines.